Article 21 du NCPC :
Il entre dans la mission du juge de concilier les parties.

Seule la présidente du TGI me répondra dans un courrier daté du 12/05/10 en ces mots : « en réponse à vos trois courriers, j’ai l’honneur de vous faire savoir que je n’ai d’autres explications à vous donner ». Autrement dit, je m’assois sur vos courriers, je cautionne le rapport de M. LAHAYE et je fais ce que je veux.


Depuis le 01 avril 2010,
la juge Alexandra VERRON m’a interdit de voir Anouk.
L'audience du 01/04/2010
Le 29/03/10, M. LAHAYE remet au JAF son rapport qui est enregistré sous le numéro 10/64 par le TGI, dossier 10/00206.

Le 30/03/10, le greffier rédige le courrier d’envoi aux parties du rapport de LAHAYE.

Le 31/03/10, cachet de la poste faisant foi, le courrier est déposé à la poste.
Le JAF s’assoit sur le NCPC
Lors de l’audience du 01/04/10 à 11h qui va durer 3 min, la JAF, qui est la seule à avoir le rapport de l’enquêteur, m’interpelle vivement sur l’incident qu’a organisé sciemment la mère d’Anouk le dimanche 14/03/10, incident décrit dans le courrier et le rapport que j’ai adressés au JAF le 15/03/10 par LR 1A03775521442 avec AR le 16/03/10. Puis en m’interdisant de commenter l’incident, elle me dit : « Je suspends tous vos droits de visite ». Je me lève et je commence à quitter la salle d’audience du tribunal lorsque la greffière m’interpelle pour me remettre une notification de date de renvoi de l’affaire au 20 mai 2010, copie ci-jointe.

Liberté, égalité ... justice d’Outreau fais moi rire ! La JAF s’assoit sur le NCPC !
Moutons de Panurge
En arrivant à mon bureau après l’audience ce 01/04/10 vers midi, dans ma boîte aux lettres, il y a une enveloppe du TGI qui contient le rapport de M. LAHAYE. Boîte aux lettres que je relève bien entendu chaque jour : le rapport ne m’a donc jamais été communiqué, comme il est de droit, préalablement à l’audience et le cachet de la poste est daté du 31 mars 2010.

Je lis le rapport et je suis anéanti, démoli par autant de diffamations et de mensonges contenus dans ces 11 pages rédigées par LAHAYE.

Le 06 avril 2010, par LR 1A04050742217 , je saisis la Présidente du TGI de Nancy sur cette situation. Elle me répondra le 08/04/2010 par une simple lettre type , en m’invitant à aller retirer « le jugement extrêmement motivé rendu par Mme VERRON » auprès du greffe du TGI. Je reçois son courrier le 12/04/10 et je me rends immédiatement au greffe du TGI de Nancy où le greffier me remet une copie du jugement.

La JAF reprend littéralement sur les mensonges et les diffamations de M. LAHAYE, elle écrit que je loge dans mes bureaux et que je détiens des produits dangereux et surtout, pour ces motifs, elle supprime mes droits de visite d’Anouk.
La méthode Alexandra VERRON
Mais il y a bien plus consternant et je vous montre là comment la juge s’assoit sur la loi et se croit au-dessus des lois : elle renvoie l’affaire à une date ultérieure en interdisant les débats et 8 jours plus tard, alors qu’elle a prononcé un renvoi, elle rédige dans son coin, un jugement, copie ci-jointe , en reprenant sans jamais les vérifier, tous les mensonges de l’enquêteur social qu’elle a personnellement missionné, mensonges contenus dans un rapport dont elle a eu connaissance détaillée et qu'elle portera à la connaissance des parties seulement après l’audience !
Oui Mme Alexandra VERRON, c’est votre méthode et votre pratique !
Des jugements à géométrie variable
Dans son premier jugement du 29/01/10 , la JAF Alexandra VERRON a réfuté la demande de réajustement de la pension alimentaire que je lui ai adressée au prétexte que « celle-ci n’ayant pas été débattue contradictoirement, il ne peut en être tenu compte à ce stade de la procédure ».

Depuis le 20 janvier 2010, aucun débat contradictoire n’a eu lieu. A l’audience du 01/04/10, il n’y a eu aucun débat car la juge a prononcé à la demande de l’avocat de la mère d’Anouk un renvoi au 20/05/10 copie ci-jointe .

C’est la méthode Alexandra VERRON : je suis Juge aux Affaires Familiales, je fais ce que je veux, comme je le veux, et sans cohérence, qu’importe !
La présidente du TGI de Nancy est incapable de s’expliquer
Le 12/04/10, je demande à la Présidente du TGI de Nancy, par LRAR 1A04356356765 avec copies à M. Le Président de La République, à M. le Secrétaire d’Etat à la Justice, à Mme la Secrétaire d’Etat à la Famille et à la Solidarité, des explications sur le contenu du jugement rendu et la méthode VERRON. Je lui demande d’arrêter de me prendre pour un idiot et je dénonce l'incohérence du jugement, les diffamations et les mensonges de l’enquêteur social.

Un mois plus tard, la Présidente du TGI de Nancy ne m’a toujours pas répondu.

Le 12 mai 2010, par LRAR 1A04365356772 , je saisis à nouveau la Présidente du TGI de Nancy et je dénonce une nouvelle fois les diffamations et les mensonges de l’enquêteur social, l’incohérence du jugement et la méthode VERRON. Je demande encore une fois des explications sur le contenu de ce jugement. J’adresse de nouveau copie de mon courrier à M. Le Président de La République, LRAR1A04365356796 , à M. le Secrétaire d’Etat à la Justice, LRAR 1A04365356789 .

Seule la présidente du TGI me répondra dans un courrier daté du 12/05/10 en ces mots : « en réponse à vos trois courriers, j’ai l’honneur de vous faire savoir que je n’ai d’autres explications à vous donner » . Autrement dit, je m’assois sur vos courriers, je cautionne le rapport de M. LAHAYE et je fais ce que je veux.
La JAF Alexandra VERRON refuse la communication de pièces
Le 12 mai 2010, par LRAR 1A03057346213 , je demande à la JAF une copie du rapport établi par le psychologue de l’association REALISE qu’elle cite dans son jugement. Elle me répondra dans un courrier daté du 17/05/10 qu’elle « fait ce jour le nécessaire ».

A ce jour, je n’ai jamais rien reçu.

Après avoir fait disparaître la copie de ma taxe d’habitation 2009 et cautionné un à un tous les propos de M. LAHAYE, la JAF aurait-elle fait également disparaître ce rapport ?

Avec l’appui d’un avocat, je réussis péniblement à faire dessaisir la JAF Alexandra VERRON du dossier, et à obtenir une audience en collégiale le 04/06/10.