Destruction de preuves!
Lors de cette audience du 20/01/10, j’ai laissé à la JAF Alexandra VERRON une copie de ma taxe d’habitation 2009 et de mon avis d’imposition 2009. Dans un courrier du 02/02/10 , celle-ci m’a retourné les documents. J’avoue avoir été très surpris par cet acte.

Où est ma fille?
Personne ne me répond!
A chaque audience, je demanderai où est Anouk, et à chaque fois, ni le juge, ni la mère d’Anouk ne répondront. On demande à un enquêteur social de vérifier les conditions d'hébergement chez son père, mais je n'ai pas le droit de savoir qui est sa nourrice.
L'audience du 20/01/2010
Je saisis, par un dossier que je dépose personnellement, le tribunal des affaires familiales le 24/12/2009 qui m’accuse réception. De son coté, la mère d’Anouk engage une procédure en référé devant le même tribunal via son avocat.

Le 20 janvier 2010, nous nous retrouvons tous les deux devant la Juge aux Affaires Familiales, Mme Alexandra VERRON, au TGI de NANCY.

Pendant plus de 10 minutes, cette dernière accompagnée de son greffier vont nier l’existence de mon dossier déposé le 24/12/09 et, lorsque je commence à m’agacer de leurs propos en me levant pour aller chercher au secrétariat le registre où est inscrite la réception de mon dossier, mon dossier réapparaît par enchantement. Consternante justice ... mais nous ne sommes qu’au début.

L’audience est brève car la mère d’Anouk débite ses diffamations à mon égard et demande une enquête sociale. Comme je n’ai rien à cacher, j’accepte naturellement.

Lors de cette audience du 20/01/10, j’ai laissé à la JAF Alexandra VERRON une copie de ma taxe d’habitation 2009 et de mon avis d’imposition 2009. Dans un courrier du 02/02/10 , celle-ci m’a retourné les documents. J’avoue avoir été très surpris par cet acte.

Lors de cette audience, Anouk est absente et je suis davantage préoccupé car cette absence que par les propos du JAF. Je demande donc où est Anouk mais personne ne répond, et le JAF se garde bien de faire dire où est Anouk. A chaque audience, je demanderai où est Anouk, et à chaque fois, ni le juge, ni la mère d’Anouk ne répondront. C’est inquiétant parce qu’il s’agit là de mes droits et de mon souhait légitime de savoir qui est la nourrice d’Anouk, c’est-à-dire la personne au domicile de qui elle passe ses journées, et qui se charge, en journée, de ses repas, de sa toilette, de son repos, de ses jeux, etc.

Le 29 janvier 2010, la Juge aux Affaires Familiales Alexandra VERRON rend son premier jugement dans cette affaire.