Bonne Année
mon p'tit
Coeur

le déni et l'outrecuidance des procureurs
Indéniablement convaincu que le procureur de la République fait tout ce qu’il peut pour couvrir le crime du travailleur social François LAHAYE, j’écris le 13 juin 2011 à M. le Procureur général auprès de la Cour d’Appel de Nancy, LRAR1A05093888006 , pour lui relater les faits et surtout, pour lui demander de m’aider, de nous aider Anouk et moi.

Le 23 juin 2011, je reçois la lettre B59-393/10CH/JE signée par M. Christian HASSENFRATZ, procureur général. Sa première phrase est consternante : "votre situation m'est bien connue depuis avril 2010"

Les écrits suivants du procureur général sont d’une extrême gravité :
- soit il n’a jamais lu le dossier et il transcrit l’entretien téléphonique qu’il vient d’avoir avec le procureur de la République ,
- soit il connaît bien le dossier et il cautionne manifestement les mensonges du travailleur social LAHAYE et le déni de justice du procureur de la République .

Le téléphone arabe
Vous connaissez le jeu du téléphone arabe ?
Vous révélez une information à une personne qui va la propagez à d'autres ... à la fin du jeu, vous comparez la version finale de la phrase à sa version initiale.

Début du jeu
Le 20 janvier 2010 à l'aidience avec la JAF VERRON, je ne parlerai ce jour que pour demander " la garde alternée d'Anouk " ; la mère d'Anouk demandera une enquête sociale.

Le 29 janvier 2010, soit 9 jours plus tard, la JAF VERRON écrit dans son jugement minute 10/376 : " Les parties se sont entendues sur l'organisation d'une enquête sociale " & " Il accepte finalement de la voir tous les dimanches et les mardis et jeudis pendant 2 heures " Puis la JAF termine la justification de sa décison par : "Tant que les conditions d'Anouk par son père ne sont pas connues"

Le 29 mars 2010, le travailleur social LAHAYE, alors qu'il n'a rien constaté, écrit en conclusions de son rapport 10/64 : " Monsieur Philippe RICHARD loge dans les locaux de son entreprise, là ou un risque d'accident par la présence de produits ou d'appareils dangereux n'est peut être pas à écarter, là ou il ne dispose même pas d'un lit pliant pour accueillir sa fille. " & " en attendant que M. Philippe RICHARD trouve un appartement lui permettant d'accueillir sa fille dans des conditions normales. "

Le 08 avril 2010, la JAF VERRON confirme les mensonges dans son jugement minute 10/1244 : " Monsieur Philippe RICHARD a admis qu'il ne disposait pas d'un logement individuel et qu'il dormait au sein de son entreprise. "

Le 15 juin 2010, la JAF SERY-LOUP écrit dans son jugement minute 10/2114 : " Toutefois, afin de s'assurer de la realité du logement et des conditions d'accueil d'Anouk, il convient d'ordonner une nouvelle enquête sociale."

Le 18 novembre 2010, la JAF SERY-LOUP se défoule dans une avalanche de mensonges dans son jugement rendu par défaut (sans ma présence) minute 10/4076 : " Monsieur RICHARD n'a plus d'appartement depuis 5 ans, qu'il partage son temps entre Paris et Nancy, que et que, qu'il dort dans son bureau sur un matelas pneumatique et qu'il mange un plat cuisiné au micro-onde." & " M. RICHARD a adopté une attitude obstructive allant à l'encontre de ses propres intérêts." & " M. Philippe RICHARD ne permet pas au Tribunal de vérifier s'il remplit effectivement les conditions requises normales pour bénéficier d'un droit de visite et d'hébergement." & " et que, que, que ... "

Le 23 juin 2011, le procureur général Christian HASSENFRATZ confirme et relaye les écrits de la JAF et du travailleur social et déforme encore un peu plus en accusant dans sa lettre : " Vous vous êtes séparé de votre compagne plusieurs mois avant la naissance de l'enfant."

Fin du jeu :
Restitution des paroles et écrits des magistrats de la justice d'outreau :


Ma réponse au Procureur Général
le 07 juillet 2011, dans la longue lettre recommandée 1A05593296410, j'ai repris chacune des phrases du Procureur Général pour les lui commenter.

J'ai adressé une copie du courrier au président de la République Nicolas SARKOZY.

Wait and see.

Mensonges, mensonges et mensonges ...
.... comme l'aurait chanté Dalida

Un an et demi de procédure,
Un an et demi de mensonges, de faux ou de tentative de faux,
Un an et demi de documents perdus, disparus,
Un an et demi d'omerta

Cette justice est malade, une pathologie incurable, une addiction et une avidité au mensonge !