Quand on ne veut pas entendre
la vérité :
à un gamin, on lui fiche une claque ; à un adulte, on lui notifie un rappel à la loi. Ce sont là de bien tristes comportements auxquels je n’adhère pas et auxquels je n’adhèrerai jamais.
Me faire taire en m'infligeant un rappel à la loi
Le 01/04/10 à 14h, j’appelle M. LAHAYE depuis mon téléphone portable sur son téléphone portable. Il ne décroche pas, je lui laisse un message vocal courtois lui demandant de me rappeler pour qu’il s’explique sur son rapport. Malheureusement, M. LAHAYE n’a jamais eu le courage de me rappeler.

Le lendemain, sans nouvelle de M LAHAYE, je décide donc de lui envoyer un email virulent pour le secouer un peu et tester son courage. Copie de l’email

Le seul courage de LAHAYE s’est réduit à faire une copie de cet email à M. le Procureur de la République de Nancy, qui après m’avoir fait auditionner par la police de Saint-Max le 28/05/10, n’a jamais pris en considération mon témoignage.

Dans cet email, j’avais pourtant vu juste en écrivant : « Bien évidemment comme tu n’as rien dans le pantalon, tu donneras une copie de cet email à la JAF et tu iras déposer une main courante. »

Le 01/06/10, M. le Procureur de la République de Nancy me fait signifier une convocation pour rappel à la loi par la Police de Saint-Max pour le 02/07/10, dossier 10/099/37. Ce jour là, j’explique à son substitut de Vandoeuvre les Nancy les faits, mais elle n’en a strictement rien à faire et je dois batailler fermement pour que soit noté sur le document que je dois signer : « Je m’estime victime de M. LAHAYE qui a menti dans ce dossier. Je veux qu’il s’explique devant les tribunaux. »
Copie

M. le Procureur de la République de Nancy n’a rien fait.

Il préfèrera couvrir les mensonges de celui qu’il appelle « la personne chargée d’une mission de service public ». En trois mois, jour pour jour, le dossier a été retenu et instruit, et Philippe RICHARD a été puni pour les mensonges de M. LAHAYE.

Croyez moi, pour ma fille et défendre mes droits, je suis prêt à tout et à subir autant de rappels à la loi qu’il faudra. Anouk n’a pas de prix et vaut bien mieux que ces balivernes! Pour le Procureur de la République de Nancy, il est plus facile d’essayer de me faire taire avec ces manières, que de lire le rapport de LAHAYE et les LRAR que je lui ai adressées, et se dire « et si M. RICHARD avait raison ».