Dans ce jugement, il est enfin écrit que je pourrai voir et héberger Anouk les première, troisième et cinquième fins de semaine de chaque mois et pour l’été 2010, les semaines 27-30-33 et 35. J’ai appliqué cet accord jusqu’au samedi 06 novembre 2010 sans que personne n'ait quoi que ce soit à me reprocher !
L'audience du 04/06/2010
7 lettres recommandées et l’aide d’un avocat pour obtenir une audience en collégiale
02/04/2010, LRAR 1A04050742217 à Mme CREDOZ, Présidente du TGI de Nancy, avec copies à M. Le Président de La République, Nicolas SARKOZY, LRAR 1A04050742187 à M. le Secrétaire d’Etat à la Justice, Jean Marie BOCKEL, LRAR 1A04050742200 , à Mme la Secrétaire d’Etat à la Famille et à la Solidarité, Nadine MORANO.

12/05/2010, LRAR 1A04365356772 , à Mme CREDOZ, Présidente du TGI de Nancy, avec copies à M. Le Président de La République, Nicolas SARKOZY, LRAR1A04365356796 , à M. le Secrétaire d’Etat à la Justice, Jean Marie BOCKEL, LRAR 1A04365356789 .

Avec l’appui de Maître Sophie FERRY-BOUILLON, du cabinet d’avocats FILOR, je réussis péniblement à faire dessaisir le JAF du dossier, et à obtenir une audience en collégiale pour le 04/06/10.

Pour cette audience, Melle B. me fera une attestation pour l’appartement vandopéen qu’elle se propose de me mettre à disposition, appartement plus vaste, plus proche de mon bureau, plus proche du parc et des jeux que le mien.
Début d’audience « au monde des bisounours »
Le 04 juin 2010, au TGI de Nancy, la Juge introduit l’audience en exprimant son souhait d’apaiser les débats. Je veux rappeler là qu’elle ne fait qu’exécuter sa mission de juge décrite à l’article 21 du NCPC.

Elle fera une genèse tronquée que je ne reprendrai pas parce que je souhaite également apaiser les débats, seuls mes droits de visite d’Anouk m’importent. Maître Sophie FERRY-BOUILLON va arrondir les angles dans une longue plaidoirie où, toujours par souci d’apaisement, elle occultera les propos de M. LAHAYE. Elle produira l’attestation de Mlle B.
La juge crée volontairement une fin d’audience délétère
Jusque là, l’audience se déroule sans accrocs mais le tribunal souhaite que je participe à des réunions de médiation familiale : cela ne m’intéresse pas et par trois fois, je vais dire « NON » fermement.

Puis la juge va réfuter l’attestation de Mlle B. et demander la production d’un bail. Je produirai donc un bail à 0€. L’audience se terminera sur un débat autour de la date de mise en délibéré.
La continuité des mensonges du TGI
Le 15 juin 2010, le TGI de Nancy rend son jugement, minute 10/2114 . Il m’est transmis par Me FERRY-BOUILLON. A la lecture de la première page, je ne peux que constater la continuité des mensonges, il est écrit : « DEBATS : A l’audience du 04 juin 201, hors la présence du public ». Ce qui n’était pas le cas puisque trois personnes étaient présentes et ce, à l’initiative de la partie adverse. Le tribunal n’est plus à un mensonge près ....

Dans ce jugement, il est enfin écrit que je pourrai voir et héberger Anouk les première, troisième et cinquième fins de semaine de chaque mois et pour l’été 2010, les semaines 27-30-33 et 35. J’ai appliqué cet accord jusqu’au samedi 06 novembre 2010 sans que personne n'ait quoi que ce soit à me reprocher !
La provocation sociale de la juge
Dans ce jugement, il est aussi écrit que je dois rencontrer un médiateur familial, alors que je m’y suis fermement opposé par trois fois lors de l’audience du 04/06/10. Je ne puis que déplorer que le tribunal continue sa provocation. Qu’importe ... Plusieurs semaines plus tard, une charmante dame m’appellera pour me vendre ce que j’appelle « sa confiture » et je lui répondrai courtoisement que je ne suis pas intéressé.

Cette France est décidément gangrénée par le social à tout va et sous toutes les formes possibles. Si l’on dépensait autant d’argent et d’énergie à aider les chefs d’entreprise à créer des emplois, le chômage serait en partie résorbé et bien d’autres problèmes résolus !

Alors que le premier ministre a martelé que la France était au bord de la faillite, alors que la France traverse certainement la plus grave crise économique de tous les temps, alors que la dette de la France a atteint un record historique, etc, la juge Mme SERY-LOUP dans un comportement civique irresponsable dépense sans compter l’argent du contribuable français !

Dans ce jugement, il est aussi écrit que le tribunal ordonne une nouvelle enquête sociale, qu’il confie à M. DUPONT avec mission de se rendre à l’appartement prêté par Melle B. Là, c’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase : je veux bien être débile, mais pas suicidaire et je ne vais certainement pas me tirer une balle dans le pied en accueillant ce nouvel enquêteur social. Pour moi, c’est clair, M. LAHAYE a menti et manqué cruellement de courage pour s’expliquer, le TGI a cautionné ses mensonges et s’est assis sur mes droits : il n’y aura donc plus jamais d’enquêteur social dans mon périmètre.

Le jugement est signé par la juge Mme SERY-LOUP et la greffière Mme JEANGEORGES.