Défenseure des enfants :
défenseurs de leur salaire
sur le dos des enfants
Le 14 avril 2011, en écrivant à la Défenseure des enfants, je n’attendais rien sauf de comprendre le fonctionnement de ces organisations sociales et créer du éventuellement du buzz.

Le 02 mai 2011, je reçois le courrier ci-joint à ma plus grande stupéfaction. Il est signé du délégué Général, Hugues FELTESSE. J’avais lu très rapidement le rôle de cet organisme sur son site internet mais je n’avais pas vu le logo en petit, volontairement noyé dans la bannière rouge et kaki, ce logo avec écrit en petit « république française ».

Comment peut-on revendiquer un « statut d’autorité indépendante » quand on est placé sous l’autorité directe de l’état ? Plaisanterie !

En fait, cet organisme n’est qu’un « écran de fumée » destiné à tromper l’ONU : vous êtes des millions, comme moi et je l’avoue, à ignorer que tous les 4 ans, la France doit présenter devant la commission internationale des droits de l’enfant de l’ONU à Genève, ses efforts en matière de protection de l’enfance, et que le dernier audit avait lieu le 26 mai 2009. Or la France est dans ce domaine bonne dernière, ou presque, de la classe européenne. Cet organisme a donc été créé pour leurrer la commission ONU. Mais voilà, l’ONU a compris l’artifice et il convient aujourd’hui de dissoudre cet organisme. Malheureusement, le prochain rapport de la France au Comité des Droits de l'Enfant est prévu en 2012 et il va valoir faire preuve d’imagination ....

Je ne suis pas là pour dénigrer cet organisme, à chacun de lire les rapports de l’ONU et ceux de Mme Dominique VERSINI, la Défenseure des enfants, pour se faire sa propre opinion.

Revenons au courrier qui est un tissu de mensonges et qui confirme le soutien de cet organisme à la justice et son dévouement au système social français.
Le 02 mai 2011, j’appelle la Défenseure des enfants pour avoir des explications sur le courrier reçu : personne ne veut prendre mon appel ! No comment.

A la 4ème ligne du courrier, il est écrit : « difficultés que vous rencontrez avec la mère d’Anouk ». Dans aucun courrier et encore moins sur le site internet, je ne cite ou ne mets en accusation la mère d’Anouk. Je dénonce clairement les mensonges des magistrats qui « rendent » la justice en apportant, contrairement à eux, toutes les preuves. Les jugements « a priori » ne m’intéressent pas, surtout en qualité de scientifique.

A la 6ème ligne du courrier, Hugues FELTESSE qui signe le courrier, écrit : « j’ai bien étudié les documents disponibles sur votre site internet » ». Je le dis haut et fort, FELTESSE, vous êtes un menteur, vous avez à peine écrit 6 lignes que vous avez déjà menti a deux reprises ! Je sais exactement le jour, l’heure, la minute et la seconde de votre connexion au site internet, je sais la page que vous consultez, le temps que vous mettez à la lire, le document que vous téléchargez, je sais tout ce que vous faites sur le site ! Et vous n’avez ouvert que la page d’accueil du site et la page « jugement du 18_11_2010 », rien d’autre ! Vous n’avez même pas pris le temps d’examiner les circonstances dans lesquelles ce jugement a été rendu, un jugement rendu par défaut, fabriqué de toutes pièces sans ma présence, sans jamais m’avoir convoqué, un jugement reposant uniquement sur des « a priori », un jugement d’insultes à mon égard sur mes études et ma situation professionnelle. Vous n’avez jamais pris le temps d’aller consulter les preuves contres les allégations de vos collègues. Vous êtes un menteur, aussi menteur que le travailleur social et que le juge. Vous êtes indéfendable sur vos mensonges.

La suite du courrier n’est que du blabla destiné à défendre votre salaire sur le dos de nos enfants. Et moi, bien naïf, qui croyais l’esclavage aboli...

Plutôt que d’écrire de telles inepties, prends ton téléphone et appelle ta hiérarchie, aies ce courage de dénoncer la violation des droits d’Anouk ! Aies ce courage !

Mais voilà, le seul courage de M. FELTESSE est d’essayer de me dissuader d’aller plus loin dans mon action dénonciatrice : sachez qu’il m’appartient de publier sur internet ce que je veux, c’est ma liberté d’expression. Au lieu de vouloir me faire la morale, à moi chef d’entreprise qui paie des charges pour vous permettre d’avoir un salaire, enfin, plus pour longtemps, allez plutôt mouiller votre chemise pour défendre les droits d’Anouk, ceux de tous ces enfants, et pour vous opposer à ce que la Convention relative aux droits de l’enfant soit ignorée par la France à 80%, comme dénoncé dans le rapport de l’ONU .

Vous comprendrez tous à la lecture de ce courrier que cet organisme n’apporte rien aux droits des enfants et qu’il n’était effectivement qu’un leurre pour l’ONU.


Copie des documents à Ms. Yanghee LEE, Chair of the Committee on the Rights of the Child